La sécurité nationale et la sécurité régionale, et en particulier les questions liées au terrorisme, ont été l’un des thèmes de discussion prioritaires abordés au cours de ces deux rencontres.

En plus d’appuyer les efforts menés par INTERPOL pour identifier les combattants terroristes étrangers et les fabricants de bombes, le Liban participe également au projet Sharaka. Consacré à l’échange mondial d’informations, ce projet aide les pays à repérer et à intercepter les membres de réseaux terroristes grâce à la technologie, au renforcement des capacités et aux opérations de police.
Grâce au projet Sharaka, les agents de première ligne peuvent se connecter au réseau I-24/7 (le système mondial sécurisé de communication policière d’INTERPOL) dans les aéroports, les ports maritimes et aux frontières. Ils peuvent ainsi partager les renseignements en temps réel et accéder aux bases de données criminelles mondiales de l’Organisation.

Le Secrétaire Général d’INTERPOL s’est également rendu au Bureau central national INTERPOL (B.C.N.) de Beyrouth qui sert de point de contact unique et assure la communication entre d’autres B.C.N. et le siège du Secrétariat général à Lyon (France).

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